Yahoo奇摩 網頁搜尋

搜尋結果

  1. KS X 1001, intitulé 정보 교환용 부호계 (한글 및 한자) (en coréen code pour échange d’information (hangeul et hanja)), est une norme sud-coréenne de codage des caractères sur 2 octets. Elle initialement identifiée comme KS C 5601 en 1974, et dans les révisions de 1982, 1987 et 1992, avant de devenir KS X 1001, et dans les ...

  2. Wikipédia Écouter est une encyclopédie en ligne collaborative et multilingue créée par Jimmy Wales et Larry Sanger le 15 janvier 2001.Il s'agit d'une œuvre libre, c'est-à-dire que chacun est libre de l'amender et de la rediffuser.Gérée en wiki dans le site web wikipedia.org grâce au logiciel MediaWiki, elle permet à tous les internautes d'écrire et de modifier des articles, ce qui ...

    • Histoire
    • Principes éthiques et Croyances
    • Textes Sacrés
    • Personnages Sacrés
    • Lieux Sacrés
    • Lexique Shintoïste
    • Voir aussi

    Origines, syncrétisme et racines

    Les origines du shintoïsme sont méconnues mais semblent dater de la fin de la période Jōmon, avec le koshintō. Depuis des temps immémoriaux, les Japonais ont adoré les kami — les esprits qui habitent ou représentent un lieu particulier, ou incarnent des forces naturelles comme le vent, les rivières et les montagnes. À chaque création d'un village, un sanctuaire était érigé afin d'honorer les esprits environnants et de ce fait s'assurer de leur protection. On croyait que les kami pouvaient êtr...

    Shinto d'État

    Avec la refonte de la constitution en 1868 sous l'ère Meiji, le shinto devint la religion d'État de l'empire du Japon : le Kokka shinto (国家神道?, shinto d'État). Dès 1872, un Office du culte shinto (Jingikan) fut établi afin de promouvoir les rites et le culte officiel et tous les prêtres devinrent des employés de l'État. Chaque citoyen devait s'enregistrer comme membre de son sanctuaire local (ujiko), devenant par le fait même membre du Ise-jingū. L'empereur du Japon, descendant de la déesse A...

    De nos jours

    Au lendemain de la guerre, la plupart des Japonais pensaient que la prétention démesurée de l’Empire l'avait mené à sa chute. La convoitise de territoires étrangers aveugla ses chefs qui délaissèrent la mère patrie. Dans l’après-guerre, de nombreuses « nouvelles religions » (新宗教, shinshūkyō?) apparurent, notamment fondées sur le shintoïsme mais, globalement, la religiosité des Japonais diminua. Ainsi Konkokyo et Omoto Kyo sont d'inspiration shintoïste, alors que d'autres groupes comme Sūkyō M...

    Le shintoïsme est une religion animiste. Le concept majeur du shintoïsme est le caractère sacré de la nature. Le profond respect en découlant définit la place de l'homme dans l'univers : être un élément du grand Tout. Ainsi, un cours d'eau, un astre, un personnage charismatique, une simple pierre ou même des notions abstraites comme la fertilitépeu...

    Les sources les plus importantes pour le shinto sont le Kojiki et le Nihon shoki. Puis le Kogo Shūi et l'Engishikisont aussi importants pour les rites du shinto.

    Bien que le shinto n'ait pas de fondateur connu, un certain nombre d’individus y ont joué un rôle essentiel : Ō no Yasumaro, qui compila le Kojiki, Motoori Norinaga, le grand lettré shintoïste du XVIIIe siècle, Nakayama Miki, fondatrice du tenrikyō, ou encore de nombreux bouddhistes comme Kobo Daishi qui le premier intégra les kami dans les temples...

    Les sanctuaires sont à la fois des lieux de prières et de réjouissances où sont encore aujourd'hui pratiqués du théâtre nô, de la danse, de la lutte sumo, du tir à l'arc (kyūdō) et d'autres activités. Autrefois, on organisait aussi des courses de chevaux ou de bateaux. On pratiquait le bain en commun qui est une forme de rite collectif de communion...

    Aramitama (荒御魂?) : âme, esprit des kami. Chōzuya (手水舎?) : bassin où les fidèles peuvent se laver les mains et se rincer la bouche à l'aide d'une sorte de louche (柄杓, hishaku?), afin de se présenter devant le kami exempts de toute souillure (o-harai). Ema (絵馬?) : plaquettes votives en bois. Les fidèles inscrivent leurs vœux ou leur prière sur l'ema,...

    Bibliographie

    1. Kojiki : chronique des faits anciens (trad. du japonais par Pierre Vinclair, ill. (calligraphies) Yukako Matsui), Amiens, le corridor bleu, 2011, 234 p. (ISBN 978-2-914033-32-9). 2. Kojiki (trad. Masumi et Maryse Shibata), Maisonneuve et Larose, 1997 (1re éd. 1969). (épuisé). 3. Charles Baladier (dir.) et François Macé, Le Grand Atlas des religions, Encyclopædia Universalis, 1988, « Le shintô ». 4. (en) John Breen et Mark Teeuwen, A New History of Shinto, Malden et Oxford, Blackwell Publis...

    Articles connexes

    1. Architecture shinto 2. Religion au Japon 3. Bouddhisme au Japon 4. Shugendō 5. Polythéisme 6. Animisme 7. Chamanisme coréen 8. Liste de divinités japonaises

    Liens externes

    1. Ressource relative aux beaux-arts : 1.1. Grove Art Online 2. Notices dans des dictionnaires ou encyclopédies généralistes : 2.1. Britannica 2.2. Dizionario di Storia 2.3. Gran Enciclopèdia Catalana 2.4. Larousse 2.5. Store norske leksikon 2.6. Universalis 3. Notices d'autorité : 3.1. BnF (données) 3.2. LCCN 3.3. GND 3.4. Japon 3.5. Israël 3.6. Tchéquie 3.7. Lettonie 4. (en) Encyclopedia of Shinto de l'Université Kokugakuin 5. Sur le premier sanctuaire shintoïste en France à Villeneuve-les-...

  3. Le svastika, ce qui signifie « auto-formé » en sanskrit, est un symbole que l'on trouve sous divers styles et significations dans de nombreuses cultures ; exemples ici, dans le sens des aiguilles d'une montre, en partant d'en haut à droite : svastika hindou ; svastika aztèque ; svastika symbole solaire préhistorique ; svastika en dix-sept carrea...

  4. La taxonomie ou taxinomie est une branche des sciences naturelles qui a pour objet l'étude de la diversité du monde vivant. Cette activité consiste à décrire et circonscrire en termes d' espèces les organismes vivants et à les organiser en catégories hiérarchisées appelées taxons.

  5. « Pourfendeur de démon »), connue au Japon sous le nom Kimetsu no yaiba (鬼 き 滅 めつ の 刃 やいば?, litt. « La Lame tueuse de démons »), est une série de manga écrite et dessinée par la mangaka Koyoharu Gotōge.

  6. fr.wikipedia.org › wiki › OctetOctet — Wikipédia

    En informatique, un octet est un multiplet de 8 bits codant une information 1. Dans ce système de codage s'appuyant sur le système binaire, un octet permet de représenter 2 8 nombres, soit 256 valeurs différentes. Un octet permet de coder des valeurs numériques ou jusqu'à 256 caractères différents.

  1. 其他人也搜尋了